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 Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès

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Darth Egern
Darth Egern
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MessageSujet: Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès   Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès Icon_minitimeJeu 16 Aoû - 20:37

DARTH EGERN


GENERALITE
Nom : Rorik

Prénom : Jonath

Affiliation : Garde Noire Sénatoriale

Identité Sith : Darth Egern

Rang : Seigneur Sith

Espèce : Humain

Planète d'origine : Hapes

Âge : 32

Taille : 1m 76

Poids : 75

Couleur des cheveux : Noire

Couleur des yeux : Jaune (anciennement acier)




DESCRIPTION PHYSIQUE

Le seigneur Egern ne fait, sans conteste, pas partie des Sith pouvant se targuer d’être les plus impressionnants de la galaxie. Grand d’à peine un mètre soixante-seize, doté d’une carrure fine, il ne correspond de toute évidence pas au profil type des hommes qui s’élèvent jusqu’à atteindre les plus hautes responsabilités au sein de la Garde Noire Sénatoriale. Ses traits nobles, son port travaillé par une éducation tout aussi recherchée, lui donnent un physique et un profil correspondant parfaitement à celui que l’on attendrait d’un héritier d’une des plus grandes familles de la galaxie, voire d’un leader politique... A juste titre d’ailleurs puisque le Sith est le descendant d’une des plus grandes familles de la galaxie puisque depuis des siècles les Rorik règnent sans partage sur le consortium Hapien. Mais ce n’est pas là la voie qu’à choisie le jeune homme. A mesure de son entrainement Sith, sa peau blanche a pâlit, ses yeux se sont enfoncé dans son visage et leurs iris couleur acier se sont peu à peu teints de jaune, son visage s’est amaigri, usé par l’usage du coté obscur de la Force, mais rien de cela n’est néanmoins parvenu à altérer l’impression générale de noblesse, comme une sorte d’aura, qui semble émaner du Sith lorsqu’on l’observe.

Bien qu’il soit le cousin de l’actuelle reine d’Hapes, et qu’à la mort de ses parents il ait été placé sous la responsabilité de la Chumeda Dorya Rorik et du prince Cerebon Rorik, Darth Egern est toujours resté dans l’ombre. Ce n’est pas qu’il ait été caché, bien que l’attentat qui a couté la vie à ses parents, peu après la mort de ses cousines Asrik et Solene, ait pu conduire à prendre des mesures particulières pour sa protection. A cela s’ajoute le protocole de la cour Hapienne, celui qui fait qu’aucun mâle ne peut espérer accéder aux responsabilités au sein du Consortium Hapien. Aussi cela n’aurait eu aucun sens de l’exposer. Et l’obscurité dans laquelle il était placé, il apprit à l’adopter, à l’exploiter, à s’en satisfaire, s’en délecter, à en faire un besoin et non plus une obligation, puisant en cela un des fondements de l’approche de la Force qu’il se fonderait avec l’âge. Ainsi le seigneur Egern est un individu discret et entrainé depuis toujours à l’être... Une discrétion qu’il sait exercer à la perfection en voilant les perceptions de ceux qui l’entourent, qu’il s’agissent d’observateurs organiques ou non, ou même d’adeptes de la Force. Le fait de masquer ses pensées étant l’un des codes de la cour d’Hapes, Darth Egern excelle dans se domaine, si bien que même lorsqu’il relâche son attention il n’émane de lui qu’une vague aura ténébreuse. Lorsqu’il est en mission l’Hapien prend soin de se dissimuler dans une large bure noire, typiquement sith, dissimulant son corps et son visage. Mais s’il ne passe pour ceux qui l’aperçoivent que comme une ombre passagère, Darth Egern n’en est pas moins un redoutable guerrier. Toujours alerte, vif, il porte à ce titre les stigmates de l’entrainement que lui ont imposé ses ainés, faisant de lui un guerrier accompli. Bien qu’on lui ait dès son plus jeune âge enseigné en priorité le maniement de la vibrolame, arme noble par excellence, sous la tutelle de sa famille il apprit à manier tout type d’arme et naturellement une fois devenu un seigneur noir, l’Hapien s’est naturellement fait une spécialité du maniement du sabre laser, au point qu’aujourd’hui il est considéré comme l’une des plus fines lames de la Garde Noire Sénatoriale et qu’il a même été nommé comme maître instructeur au sabre laser pour l’Ordre. Autant dire qu’avec sa détermination, sa volonté à toute épreuve héritée du sang des Rorik et son entrainement de guerrier, Darth Egern est un adversaire pour le moins redoutable.

Sous sa traditionnelle bure noire, le Sith ne porte que rarement la lourde armure noire des gardes sénatoriaux qui marque son allégeance à la République et de la confiance que celle-ci place dans les guerriers du coté obscur. A sa place, le seigneur noir préfère garder pour toute protection une armure légère en lame de cortose le gênant beaucoup moins dans ses mouvements, même si elle ne peut guère qu’atténuer les tirs de blaster. De la masse sombre que constitue le corps du guerrier dissimulé dans sa bure n’émerge que par moment, battant sur sa hanche gauche à chacun de ses pas, la couleur vieil or de la garde en électrum de son sabre laser dont la partie de préhension est couverte de lanières de cuir noir. Mais ce n’est pas sa seule arme, au dessus, sur son coté, le sith dissimule dans un pan un pistolaser d’officier Républicain, rappelant à qui le seigneur noir voue sa fidélité. Au coté droit repose le fourreau de sa dague en cortosis, arme à la fois d’apparat et de combat, unique trace de son appartenance à la famille royale d’Hapes dont elle porte la marque.






DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE

Le Seigneur Darth Egern est un véritable guerrier, au sens le plus complet qu’on puisse donner au terme. C’est un homme armé pour la lutte, un battant au caractère ferme. Un combattant forgé par le poids implacable d’une lourde hérédité, celle de la famille Rorik, taillé pour en être le digne représentant après des années d’un lourd entrainement. Un homme qui s’il n’a jamais été destiné au pouvoir a appris quelles étaient toutes les responsabilités qui incombaient à cet honneur. Ses parents les Rorik règnent depuis des siècles sur le consortium d’Hapes et Egern a déjà vu comment sa grand-mère, sa tante puis sa cousine avaient su mener le Consortium à son apogée. C’est dans leur droite lignée, bien que sa nature de mâle l’ai privé dès la naissance d’une quelconque prétention sur le pouvoir monarchique, que fut élevé Darth Egern. Dès sa naissance on voulu faire de lui un représentant, un ambassadeur du Consortium pour quiconque l’aborderait, mais aussi un guerrier, un protecteur, fidèle par le sang, de la lignée Hapienne. Ainsi la jeunesse du Sith fut marquée par le poids du protocole de la cour d’Hapes, écrasant, oppressant... Ecrasant car omniprésent, visant à la fois à protéger la supériorité de la famille royale mais aussi à la protéger contre les débordements de la cour d’Hapes, prompte aux complots et aux attentats. Oppressant car la jeunesse d’Egern fut marquée par la mort de deux de ses cousines, les princesses Asrik et Solene puis par celle de ses parents dans des circonstances pour le moins troubles, des crimes sans coupables qui eurent bien entendu des conséquences sur la vie d’Egern, d’abord parce que se trouvant orphelin à l’âge de 4 ans il fut placé sous la tutelle de son oncle, le prince Cerebon Rorik, ensuite parce que le climat ambiant marqué par ces crimes mais surtout par la guerre totale qui traumatisait la galaxie, par l’inexorable avancée des Sith imposait d’enfermer la famille royale derrière un mur.

Ainsi pendant sa jeunesse le jeune Rorik fut placé dans l’ombre, pour le protéger puis, parce que sa condition ne lui offrait aucune valeur en termes de représentation, ne lui donnant aucune place dans l’Ordre de succession. Placé à coté de la lumière sans en recevoir le moindre rayon, le garçon apprit à grandir dans l’ombre, celle de ses ainés, celles des relations avec autrui. Ses seules relations avec d’autres jeunes gens furent celles qu’il entretint avec ses cousines Tagon et Dalia respectivement âgées de 5 et 13 ans de plus que lui, bien que ses contact avec Dalia furent réduits du fait de leur différence d’âge. Cette obscurité, tout comme l’impératif du protocole et la dureté de l’éducation qui lui était imposés, le jeune homme les accepta, mieux il les adopta, il n’en fit pas une nécessité mais un choix. Mieux, en saisissant ses codes, en s’y glissant, en s’y adaptant, en se montrant en la hauteur de ce qui lui était demandé, en se dépassant pour toujours se montrer meilleur, en montrant que son sang était celui des Rorik, Egern se prit à aimer cette façon d’être, cette ombre. Ainsi aujourd’hui encore Darth Egern n’a aucun problème à se fondre dans le moule que peuvent lui imposer les circonstances, préférant le silence il apprécie de pouvoir saisir les codes d’un univers pour pouvoir par la suite le comprendre dans ses plus infimes détails, le contrôler dans un fin exercice de pouvoir sans jamais quitter l’abri des ténèbres...

Un autre fait marquant de son éducation d’enfant fut l’enseignement qu’Egern reçu en matière de combat. Dès sont plus jeune âge, les tests avaient révélé la potentielle affinité avec la Force du jeune garçon, l’information fut bien entendue gardée secrète, à l’époque les Sith grignotaient les frontières d’une République impuissante, abandonner cet enfant aux mains des Jedi aurait pu être à la fois dangereux pour lui et pour le Consortium. L’offrir aux empires Sith mouvants était une folie pire encore et la rumeur risquait d’offrir Hapes à leurs appétits... L’enfant fut élevé parmi les siens et l’attentat qui couta la vie à ses parents ne fut, malgré les inquiétudes de la famille royale, aucunement lié à cette affaire de pouvoir potentiel dans la Force. Mais très tôt ce don fut exploité, on commença à apprendre au jeune homme les arts du combat. L’idée était de faire de lui un protecteur pour le représentant de la royauté d’Hapes et bien entendu on lui inculqua les principes en accord avec cet avenir. D’abord légère, la formation se fit plus rude années après années et Egern sut prouver ainsi son talent. On le poussa à faire preuve d’un caractère ferme, à faire maintes fois la preuve de sa volonté, à être un digne héritier de la famille Rorik. Puis, lorsqu’il atteint l’âge à laquelle son don dans la Force ne faisait plus aucun doute, son oncle lui choisit un précepteur apte à lui apprendre les arts de la Force, les arts du coté obscur puisque ce fut Darth Zerstör, seigneur Sith adepte d’une ligne pro-Républicaine qui prit en charge le jeune Rorik. Complétant son entrainement au sabre laser, lui enseignant à se servir de ses passions, de sa rigueur, de la discipline qu’il avait acquis après ces années d’entrainement... Le maître su exploiter les talents de son apprenti pour faire de lui un Sith accompli tout en se pliant aux impératifs fixés par la cour d’Hapes. Cet entrainement dénote aujourd’hui encore sur le guerrier que Darth Egern est devenu, parfaitement armé pour tous les combats, le sith est même devenu le maître instructeur au sabre laser au sein de la Garde Noire Sénatoriale. Mais le caractère solitaire d’Egern fait qu’il s’est néanmoins toujours refusé à avoir un apprenti de façon permanent.

Mais, pour comprendre véritablement Darth Egern, il faudrait véritablement percevoir la place centrale occupée dans sa vie par sa cousine Tagon Rorik, celle qui désormais est connue dans toute la galaxie pour avoir gravit les marches du pouvoir jusqu’à devenir Chancelier de la République Galactique, elle, une princesse Hapienne, deuxième dans l’ordre de succession du Consortium. Plus encore qu’une parente, elle est la seule véritable amie que Egern ait eu dans son enfance, devenue comme une sœur lorsque le jeune garçon a perdu ses parents. Malgré toute l’affection qu’il peut avoir pour les autres membres de sa famille, elle est de loin celle dont il est le plus proche, sans doute grâce à leur proximité d’âge, peut être parce que les autres étaient déjà dans les coulisses du pouvoir lorsque le jeune Hapien parcourait les couloirs du palais... Par devoir autant que par choix, Darth Egern a pris pour mission, sur la demande de son oncle, Cerebon Rorik, de protéger les membres de la famille Rorik, de protéger la dynastie en elle-même. Et ce fut pour Egern un soulagement lorsque Tagon parti à la conquête du Sénat Galactique et qu’il put choisir de la protéger elle plutôt que la Chumeda, quitter Hapes pour rejoindre la capitale de la République, pouvoir véritablement se joindre au corps auquel son maître faisait parti, la Garde Noire Sénatoriale. Mais, quelle que soit la philosophie de cet ordre sur le caractère primordial de la fidélité que ses membres doivent apporter à la République et donc au Sénat, Darth Egern est avant tout fidèle à Tagon, cela était vrai du temps où elle siégeait sur les bancs de l’assemblée, cela l’est encore aujourd’hui qu’elle est devenue Chancelier. Egern serait prêt à mourir pour accomplir son devoir auprès d’elle.

Privé de tout droit à prétendre au trône d’Hapes à cause de son sexe, Darth Egern n’a aucune prétention politique, positionnement qui fut renforcé par l’enseignement que lui apporta Darth Zerstör en accord avec les valeurs de la Garde Noire, néanmoins comme tous les Rorik, l’Hapien n’est pas dénué d’ambition et en toute occasion cherche à faire honneur à se lignée en se comportant en leader naturel et en combattant aussi talentueux qu’audacieux.

Bien qu’il n'ait pas un statut d'idéologue au sein de la Garde Noire, s’écartant de leur valeur par la faute de son attachement à la personne de la chancelière, Darth Egern n’en est pas moins attaché à la plupart de leur principe, jugeant la Force comme un outil dans lequel il convient de puiser pleinement et sans le moindre obstacle de le but de servir l’intérêt supérieur de la République. Il n’a aucun obstacle moral lorsqu’il s’agit de combattre un autre Sith, quand bien même celui-ci aurait été un temps de ses amis, son enseignement lui a appris que la fidélité était la première des valeurs et que la trahison était une faute qui ne pouvait être en aucun cas excusée. Parallèlement l’Hapien ne craint pas non plus de se confronter aux Jedi, que ce soit lors des débats qu’il peut avoir avec certains d’entre eux sur la voie à suivre pour la République ou lors d’affrontement armés. Néanmoins, en pragmatique il ne nourrit aucune haine de principe contre les adeptes du coté clair, déplorant seulement leur manque de perception lorsqu’il s’agit d’exploiter les voies de la Force, il est parfaitement prêt à abonder dans leur sens et à faire équipe avec eux lorsque ses intérêts et ses vues convergent avec les leurs.






INVENTAIRE

Sabre-laser : Sabre à garde en électrum, couleur vieil or gravé aux armes de la famille royale Hapiènne, la zone de préhension est recouverte de bandes de cuir noires. Légèrement recourbée, longue de plus d'une vingtaine de centimètres, l'arme est caractéristique d'un bretteur. Le cristal rouge sombre qui alimente l'arme génère une lame couleur grenat.

Armes secondaires : Blaster d'officier Républicain, Dague en cortosis marquée du sceau de la famille royale d'Hapes.

Armure : Sous sa bure noire de sith, Egern porte une armure légère renforcée de lames de cortose.

Autres : Comlink, Kit d’opération de la Garde Noire Sénatoriale, Crédits Républicains, Consulaires et Hutts.






APPROCHE DE LA FORCE

Pour Darth Egern, la Force est un don d’une importance extrême, un outil précieux puisque, grâce à elle, il lui est possible d’accomplir la tache à laquelle sa vie a été vouée. En effet c’est avec l’aide de ce grand pouvoir que l’Hapien s’applique à protéger sa famille, comme cela lui a été confié par ses ainés, et en particulier de veiller à la protection du Chancelier Tagon Rorik. Depuis que sa cousine est devenue sénatrice puis chancelier c’est d’ailleurs ainsi que sa mission lui a été présenté, ainsi que la Force le pousse à agir. Pour cela, la Force constitue à ses yeux une puissance qu’il se doit de respecter et d’honorer. Pour autant, ce don puissant ouvre également une nouvelle voie pour les Rorik, une possibilité d’étendre leur pouvoir et de l’appuyer au-delà du seul territoire du Consortium Hapien, offrant une chance d’apporter un peu plus à la Galaxie leur vision.

La formation du jeune homme s’est toujours effectuée dans l’ombre, d’abord l’opacité imposée par le Consortium d’Hapes, à l’abri des conflits de la Galaxie et des innombrables complots de la cour, renforcée par le secret qui entoure toujours l’entrainement des futurs protecteurs de la famille royale. Adepte de la Force où non, être un Rorik imposait de se protéger contre les influences extérieures, d’être maître de son esprit, de masquer ses pensées à quiconque chercherait à les percer, de savoir duper ceux qui s’y oseraient... Et à cela il fallait rajouter le poids du protocole, le devoir de rester à sa place, de se dissimuler lorsque l’on n’était pas de ceux qui devaient être mis en valeur, comme cela était le cas du jeune Jonath Rorik, lui un mâle de la famille, fils d’un autre mâle et à ce titre ne disposant d’aucun droit dans l’ordre dynastique. Il su se faire tel une ombre, naviguer dans les secrets, adopter la discipline de fer du protocole et celle de ses entrainements... Et tout cela l’Hapien l’a accepté, l’a fait sien comme s’il s’eut s’agit d’un choix. Il s’entrainait en y mettant toute sa volonté, toute sa force, toutes ses passions. Rejoindre les Sith ne fut pas un choix au sens premier pour Egern, son maître, Darth Zerstör, fut contacté par la famille Royale pour la protéger et former leur jeune parent en un temps où les Sith accumulaient les succès et où la République était à genoux face à eux. Il était une alternative qui avec le temps s’avéra être un bon choix pour les Rorik. Néanmoins, s’il avait eu à faire un choix, celui là n’aurait pas été autre. La rigueur de l’enseignement de Zerstör, les arcanes du coté obscur, son pouvoir, tout ça Egern y aspirait depuis qu’il avait senti la Force en lui.

Toutefois s’il s’est pleinement voué au pouvoir du coté obscur de la Force, Egern n’a jamais perdu de vue que cet enseignement avait pour but de servir la Famille Rorik, si le pouvoir a été mis entre ses mains, l’outil lui ne peut servir que la dynastie. Une vision prolongée par celle de son maître, pour lui s’opposer à la République était vain, le pouvoir que la Force offrait à chacun de ses fils du coté obscur valait bien plus que de méprisables revendications territoriales, des conflits sans but autre que de conquérir quelques misérables planètes. Le seul vrai pouvoir, le seul digne d’être recherché se trouve dans la Force, dans la culture du savoir qui y a trait. Et c’est cette culture que Darth Egern a intégré avant que celle-ci ne les mène naturellement lui et son maître à se joindre à la Garde Noire Sénatoriale. A ce titre son allégeance va officiellement au Sénat même si, sans l’avouer l’Hapien place toujours la protection des siens au dessus de ses devoirs envers la République. Néanmoins la chose est devenue beaucoup plus facile à vivre dès que Tagon conquit sa place au sénat puis le fauteuil de Chancelier de la République.

Solitaire, Egern n’a pas l’esprit sectaire sur la façon dont il convient d’aborder le coté obscur pour en tirer le maximum de son potentiel, bien que lui-même en ait une idée bien précise, peut être est ce là une des principales vertus tirée de sa place dans la Garde Noire... Pour le moment, le Sith bien qu’en ayant la possibilité s’est toujours refusé de prendre un apprenti, préférant se concentrer à ses recherches dans la Force et sur les devoirs que celle-ci lui impose. Et pour une bonne part son entrainement se concentre sur le combat, en puisant dans la puissance que lui a donnée la Force pour appuyer ses qualités naturelles de bretteur, l’a conduit jusqu’à devenir le maître instructeur au combat au sabre laser de la Garde Noire.






POINTS FORTS
- Parfaitement entrainé au maniement du sabre
- Fidèle en tout point à la famille Rorik
- Exercé au monde de la politique
- Déterminé
POINTS FAIBLES
- Fidèle en tout point à son devoir envers sa famille au risque d'agir contre ses interets
- Solitaire
- Peu habitué à être exposé


HISTOIRE

Extrait de l'holocron de Darth Egern
Archive de la bibliothèque Sénat n° S-595-07-259-E


Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès Holocr11


Ainsi c’est donc cela, vous en appelez à moi. Vous désirez recevoir mon enseignement. Mais le souhaitez vous vraiment, jusqu'à quel point désirez vous apprendre ce que je peux vous offrir ? Êtes-vous apte à comprendre qui j’ai été, qui je suis ? Quelle drôle d’idée me direz vous... Qui je suis ne le savez vous pas déjà ? N’est ce pas justement cela qui vous a amené aujourd’hui à consulter mon holocron ? Bien évidemment. Je suis le seigneur noir Darth Egern, fils de l’obscurité, protecteur du Sénat de la République, fidèle serviteur du sang des Rorik et maître bretteur chez les miens. Et cela seul suffirait il à apaiser votre soif ? A comprendre, à tirer vos conclusions sur ce que j’ai pu faire, sur ce que j’ai pu être. Non certainement pas... Alors comment pourriez-vous comprendre les voies que j’ai pu emprunter ? Tout cela est bien nécessaire... Et peut être une fois que vous m’aurez écouté pourrai-je juger si vous êtes aptes à en découvrir plus. Si vos perceptions sont suffisamment étendues pour vous voir offrir le pouvoir et peut être alors ferai-je le choix de vous enseigner. Et pour débuter, quel meilleur point de départ que de revenir aux sources. Redescendons jusqu’aux aux racines avant de nous élancer vers les branches. Comprenons les causes pour saisir au mieux les conséquences. Tout semble si simple abordé comme cela. Alors faisons ainsi, commençons par le début, par les origines...

Certains Sith, pour ne pas dire la plupart, quelles que soient leurs opinions sur le conflit qui déchire actuellement la galaxie, considèrent que leur vie, leur existence véritable ne prend sens qu’à l’heure où ils sont devenus Sith. Lorsqu’ils ont été jugés prêts. Lorsqu’après une longue gestation ils peuvent prendre leur essor en maître de la Force. En un sens ils ont raison. Ne devenons nous pas tous frères dans le coté obscur en nous plongeant dans les arts noirs ? Une renaissance ou une seconde naissance... Difficile de trancher, celle-ci ne nous offre peut être pas la vie mais au fond donne un sens à celle-ci, alors autant dire qu’elle en est créatrice... Mais comment comprendre l’une sans l’autre ? Il serait facile de faire comme tous les autres, de taire cette première vie et de faire surgir la seconde du néant. Cela la rend sans nul doute plus impressionnante, plus frappante pour les esprits faibles car elle n’évoque que la puissance et le pouvoir. La force ne doit pas être illusoire. Ou alors c’est qu’elle n’émane que de la peur et de la crainte. Qu’elle n’est au fond que faiblesse dissimulée. Je suis le seigneur noir Darth Egern, Garde Noir du Sénat de la République Galactique et la crainte ne fait pas partie de mes valeurs. Je vous ai promis de vous offrir les clés pour comprendre mon enseignement, à vous de savoir les saisir.

Mon existence débuta au plus profond de la nuit Hapienne, au cœur du palais de Ta'a Chume'Dan, le centre névralgique du Consortium Hapien, le bastion de la famille Rorik. Dynastie royale d’Hapes ayant la main sur le pouvoir depuis désormais sept siècles. Ma famille. Car c’est sous ce patronyme que je vis le jour, Jonath Rorik tel fut un temps mon nom. Mon père, Ernst Rorik était le second fils de la Chumeda Tanya Rorik, le second mâle qu’elle produisait, le second héritier inapte à succéder à la souveraine suprême du Consortium d’Hapes, le dernier de ses enfants. Ainsi, que cela était de mise sur cette planète où seules les femmes étaient vouées à exercer le pouvoir, mon oncle fut conduit à s’intéresser à la politique, sous le strict contrôle de la Chumeda, ainsi lorsqu’il prendrait une épouse digne d’exercer le pouvoir, il serait apte à conseiller la nouvelle Chumeda. Mon père quant à lui fut éduqué en sachant pertinemment que jamais il ne tiendrait les rênes d’un pouvoir que son propre frère ne pourrait jamais qu’entrevoir. Néanmoins il fut amené à embrasser une carrière militaire. Et sur Hapes où les complots sont légion, placer l’armée dans le sillage de la famille royale, user pour cela de la solidité des liens du sang, est sans nul doute une marque de sagesse. Une protection efficace du moins tant que celle-ci est possible. Pour ma part, j’étais le premier né du prince Ernst Rorik et de son épouse Yiulia et comme la sienne, ma vie n’avait, dès l’origine, pour but que de servir la Chumeda.

Néanmoins mon existence prit très tôt une orientation particulière lorsqu’une série de deuils, pour ne pas dire d’attentats, vint frapper de plein fouet notre famille. Cela commença de façon presque anodine, ce fut tout d’abord des parents éloignés, responsables de différentes fonctions de représentation qui perdirent la vie de façon diverses, sans que nul ne voit de lien direct entre les différents événements. La galaxie souffrait de la guerre depuis désormais tant d’années que cela ne semblait rien représenter de remarquable, tout juste un réchauffement des tensions qui correspondait à l’offensive que le maître de la République d’alors, un jedi du nom de Skyurr, menait contre les Sith... Et petit à petit, insidieusement, la menace se rapprocha. Puis la famille royale fut frappée de plein fouet ! A deux reprises. Coup sur coup disparurent deux de mes cousines, les princesses Asrik et Solene puis dans la même semaine mes parents furent assassiné au sein même du palais. La question même de la sécurité de la Chumeda était posée... J’étais alors bien trop jeune pour le comprendre mais la Chumeda Dorya, l’épouse du prince Cerebon était honnie par une partie de la cours depuis de nombreuses années. Son principal défaut, être Coruscanti. Devenue maîtresse du consortium Hapien par son mariage avec mon oncle, elle semblait catalyser autour d’elle toutes les haines et c’est sans nul doute pour l’atteindre que ses ennemis avaient décimés ainsi les rangs de ses fidèles, avaient pris le soin de mesurer leurs capacités d’action sur des cibles à priori secondaires... Mais les conjurés avaient commis une erreur car ne se laissant pas aller à la douleur la dirigeante du Consortium su à priori trouver une réponse à ses adversaires car, en resserrant ses cercles proches autour d’elle, en renforçant la protection des siens, en diligentant avec une férocité extrême une riposte contre les traitres à Hapes, elle su mettre fin à ces tristes événements en faisant couler le sang des ennemis de la famille Rorik.

Mais les faits étaient là. J’avais cinq ans à peine et j’étais orphelin alors que la galaxie toute entière semblait s’embraser et que le Consortium devait faire face à des événements plus terribles que tous ceux qu’il avait pu affronter dans son histoire... La guerre entre la République et les Sith menaçait de dégénérer à tout moment. La protection de la famille restait toujours un sujet sensible malgré la reprise en main que la Chumeda avait exercé. Et c’est dans ce cadre là sans nul doute que mon oncle décida de m’adopter, pour assurer l’unité, la protection de la famille... Mais peut être aussi avait il déjà pour projet de faire de moi le protecteur de la future Chumeda. Mon entrainement débuta dès lors, sous une forme plus ludique que martiale bien sur, mais la ligne était tracée, on voulait faire de moi un garde du corps. De ces années je me souviens principalement de la relation qui commença à se développer entre moi et ma cousine, celle qui placée en seconde dans l’ordre de succession n’était pas vouée à régner sur le Consortium Hapien, mais qui plus tard ferait briller le nom de la famille Rorik dans toute la République, Tagon. De seulement cinq ans mon ainée je réussi à lier une relation privilégiée avec elle, tandis que Dalia, héritière désignée du titre de Chumeda, âgée de huit ans de plus que sa sœur, prenait soin de m’ignorer. Je n’étais sans doute pour elle qu’un insecte, insignifiant par rapport au destin qui était le sien. Ou peut être était ce le poids du pouvoir qui conduisait les gens à se montrer distants... Car de la même façon si mon oncle prêtait une attention à mon éducation, la Chumeda elle feignait d’ignorer mon existence. Ou alors peut être ainsi me protégeait elle en m’éloignant du devant de la scène politique... Les choses se déroulèrent ainsi pendant quelques années, petit à petit mon rôle à venir de protecteur se précisait, malgré mon jeune âge, l’on commençait à m’ouvrir aux rouages de la politique, m’offrir les clés pour enquêter dans ce monde nébuleux autant que l’on me donnait celle pour affronter physiquement la moindre menace.

Lorsque j’eu passé l’âge de 8 ans, la voix de la Force se fit petit à petit entendre en moi avec de plus en plus de clarté. Peut être ce don était il déjà connu de mes ainés lorsque ceux-ci décidèrent de faire de moi un protecteur de la royauté Hapienne, ou peut être ce fait fut il une heureuse surprise pour eux. Peut importe car quoi qu’il en soit ce fut mon oncle qui prit l’initiative de faire entrer sur la scène un nouvel acteur. Mon maître, le seigneur Sith Darth Zerstör. Seigneur noir humain, originaire de Coruscant, fils d’un ancien sénateur, solide partisan d’une ligne pro-républicaine à une époque où la République n’avait pas encore su reconnaitre ses alliés au sein de la Sith. Et si j’avais eu à choisir un maître, je n’aurai su en choisir un meilleur que celui-ci. Fidèle lui-même à une ligne politique précise, élevant la culture de la fidélité au rang d’art, conscient que seule la discipline permet d’avoir conscience et de saisir en intégralité l’essence même de la Force. Le maître acceptait d’entrer au service du consortium, de me former jusqu’à faire de moi un parfait serviteur tant du coté obscur que de la famille Rorik. A ce titre il s’intégrait parfaitement à la culture du devoir telle que l’entendent les Hapiens et se calquait ainsi à une discipline de vie que j’avais déjà acquise. J’ignore les raisons concrètent qui conduisirent le prince Cerebon à s’attacher les services de mon maître. Sans doute ce choix lui paraissait il le plus judicieux en ce temps là... La République avait certes repris du poil de la bête sous l’impulsion de Skyurr, mais nul n’aurait pu dire qui d’elle ou des Empires Sith parviendraient à prendre l’ascendant. Les Jedi prennent en général les jeunes adeptes que l’on leur confie pour ne jamais les rendre à leur peuple d’origine, préférant les endoctriner, les acquérir pleinement à le cause Jedi plutôt que de prendre le risque de les laisser faire leurs propres choix en conservant leurs racines. Les Sith eux ont la réputation de trahir, de ne servir que leurs intérêts. Une légende noire bien difficile à combattre lorsque l’on sait quel a été le passé de notre ordre. Mais en y regardant bien une conception réductrice, simpliste, issue de la propagande Jedi. Car la discipline, la fidélité à ses attaches sont autant de Force que les Sith doivent exploiter. Et le Consortium avait su trancher en choisissant le meilleur des compromis avec un homme comme Zerstör.

Les années qui s’en suivirent ne furent qu’entrainement, tant aux arts de la Force, qu’à ceux du combat et de la politique... J’étais devenu un apprenti Sith, mais le but qui m’était fixé était le même. Servir par tous les moyens possibles la destinée de la famille Rorik, la Force n’était qu’une voie pour atteindre ce but, tout comme le service de la Chumeda constituait une voie pour accéder à la puissance de la Force. La recherche d’un plus grand pouvoir ne peut exister que par un but et ce but ne peut qu’à son tour offrir l’accès à un plus grand pouvoir... Au service du Consortium Hapien mon maître et moi-même furent conduits à nous rendre sur d’autres mondes, à suivre la Chumeda Dorya, ou a préparer ses voyages. Chaque expérience était une leçon, et chaque leçon étendait ma vision, me donnait le moyen de servir au mieux les miens. J’appris à tirer mon sabre, semer le chaos, prendre une vie ou l’épargner tout cela semble si facile. Mais le faire avec méthode, avec discipline, savoir extirper des ténèbres le pouvoir sans se rendre vulnérable, en user comme d’un art. Cela est un savoir. Une force. Nos adversaires étaient le plus souvent de piètre valeur, de vulgaires conspirateurs, des chasseurs de primes prêts à prendre tous les risque pour honorer un contrat dont ils n’avaient pas mesuré le risque, plus rarement des Sith ou des Jedi se dressant face à la volonté du Consortium. Pour chacun le combat avait ses règles sa méthode, Darth Zerstör le savait, l’enseignait, le pratiquait.

Nous étions force de frappe au service d’Hapes, discret, puissants mais cela n’aurait pu durer, nous le savions. La galaxie bougeait, se transformait vite. La République se réformait en profondeur. Skyurr était tombé et avait fondé une nouvelle entité politique vouée à un avenir prospère... Le Consulat Arkanien. Les Sith étaient toujours vivaces et prêts à tomber sur toutes les proies qui s’offraient à eux. Le Consortium Hapien n’était pas faible mais constituait une cible de choix. L’heure était venue pour la Chumeda de choisir son camp si elle ne voulait pas prendre le risque d’une invasion... Et ce fut le gouvernement de République, celui avec lequel Hapes avait le plus de lien historiquement qui obtint son ralliement. La galaxie avait changé et désormais la République acceptait à ses cotés l’assistance de guerriers tels que Zerstör mais dans un climat de guerre totale avec les Sith qui planait dans la galaxie, le ralliement ne constituait plus un choix. Hapes ne pouvait garder des sith indépendants à son service sans prendre le risque d’attirer l’attention des Jedi. Alors mon maître et moi nous rallièrent à la Garde Noire du Sénat. Le Sénat allait devenir notre vrai maître mais ma fidélité elle revenait en premier lieu à Hapes... J’avais alors presque vingt deux ans, mon entrainement en tant que Sith touchait à sa fin. Après plus de quatorze ans au service de la Chumeda, la mission de Darth Zerstör touchait à sa fin. Mon maître avait accomplit son devoir envers Hapes. Et c’est alors que mon devoir envers la famille Rorik prit un nouveau sens.

Ma cousine Tagon était devenue la sénatrice représentante d’Hapes. Il m’était alors possible de conjuguer mon service auprès des miens et mon allégeance auprès du Sénat. Avec le soutien de mon oncle j’abandonnais ainsi le service de la Chumeda pour me placer à son service. Ma tache était autant de la protéger que de porter le fer en son nom. Et l’ambition de Tagon me conduit rapidement à me faire un nom au sein de la Garde Noire alors même qu’elle gravissait échelon après échelons les niveaux du pouvoir. En moins de cinq années, pour les services que j’avais rendu à la Garde Noire dans la lutte tant contre les Empires Sith que contre les ennemis intérieurs de la République, je me vis offrir le titre de Darth. Jonath Rorik n’était officiellement plus, j’étais devenu celui que je suis aujourd’hui, le seigneur Sith Darth Egern. Durant toutes ces années je cultivais mes talents dans la Force. Agissant comme me l’avaient appris mes maîtres sur Hapes, comme me l’avait appris Darth Zerstör. Avec force, discipline, puissance. C’est ainsi que je vins à bout des plus féroce de mes ennemis. Participant à la chute des derniers grands bastions des Empires Sith, défiant l’arme à la main mes ennemis pour les vaincre, j’avais trouvé ma place au cœur de la Garde Noire. C’est ainsi que certains désormais me considère comme un cadre de la Garde Noire... Affirmation bien présomptueuses, nous sommes des Sith, notre seul cadre est l’infinie étendue de la Force. Il y a peu Tagon s’hissa au rang de Chancelier du Sénat Galactique. Devenant de fait le maître de la République. Et moi je demeure le premier de ses serviteurs, toujours fidèle au premier de mes devoirs, celui qui m’attache à la famille Rorik.

Voilà, maintenant que vous savez qui je suis, peut être pourrez vous comprendre ce que j’ai à vous apprendre...


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Dernière édition par Darth Egern le Mer 31 Oct - 0:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès   Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès Icon_minitimeLun 20 Aoû - 10:14

L'éternité s'ouvre devant toi Seigneur Sith. Toi le guerrier de l'ombre, fils d'Hapes plongé au cœur de la République sauras tu tout au long de ton existence la servir sans te trahir.

Présentation validée.
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Darth Egern, dans l'ombre d'Hapès

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