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 La haine cherche un maître à Aldera

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Maldrik Fabän
Maldrik Fabän
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MessageSujet: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeLun 3 Sep - 9:53

Maldrik Fabän venait de quitter sa ville natale, il y avait commis bien trop de crimes, mais des crimes nécessaires, des crimes qui lui ont permis de vivre, en faisant les poche de ses victime il trouvait de quoi s'acheter à manger. De plus il avait découvert un pouvoir étrange il y a quelques années, une force psychique qui lui permettait d'agir sur son environnement, faire bouger des objets avec la pensée, il avait même réussit à s'introduire dans les pensées de quelqu'un. Mais il ne savait pas que représentait ce pouvoir, certain appelait ça la "Force" dans sa ville natale. Il était dit que l'on pouvait apprendre à maîtriser la force en devenant l'apprenti des "Jedis" mais ces derniers acceptaient ceux ayant un esprits pur. Maldrik ayant déjà tué des personne pour son propre intérêt savait que les Jedis ne l'accepteraient pas... Il décida alors de se rendre à la capitale, Aldera, peut être trouverai t-il quelqu'un pour lui enseigner à contrôler la Force malgré ces quelques larcins, Maldrik l'espérait. Il marchait donc à travers les plaines, les montagnes. Il avait amené des provisions pour une semaine. Les jours passaient, Maldrik se fatiguait à marcher mais comme il avait passé plusieurs année à fuir, tuer, voler, il avait acquérit une certaine endurance et une rage de vivre. Maldrik avait néanmoins mal calculé son coup, la ville était bien plus loin que prévu, et ses ressources commençais à se tarir, cela faisait six jours que Maldrik était partit, il marchait, marchait, mais toujours pas de ville...

*Mais quand vais-je arriver à cette fichue ville??*


Maldrik espérait à chaque fois qu'il voyait une colline, que la ville soit derrière. Mais le fatidique septième jour arriva, il n'avait plus rien à manger. Il s'arrêta, par chance il avait trouvé un grand lac ou il pourrait boire. Mais il restait le problème de la nourriture. Maldrik posa son campement près du lac et alla vers une petite foret. Il grimpa au arbres pour récupérer des branches, il redescendit ensuite. Il avait pensé à prendre un briquet si jamais. Il revint jusqu'à son camp et fit un petit feu. La nuit commençait à tomber. Et le ventre de Maldrik commençait à gargouiller sérieusement. Il regarda le lac.

*Peut être qu'il y a des poissons...*


Maldrik s'approcha de l'eau. Il vit des poisson, assez gros, s'il réussissait à en attraper un il aurait son repas du soir. Il enleva ses chaussure, et retroussa son pantalon... Il entra dans l'eau froide et essaya de se concentrer pour repérer un poisson et essayer de l'attraper. L'eau était clair, il repéra rapidement un poisson de bonne taille. Il s'approcha de lui doucement pour ne pas le faire fuir et sauta sur lui pour l'attraper, mais le poisson fila! Maldrik était trempé, sa tentative avait échoué, il commençait à désespérer mais il eu une idée, il décida de se servir de son pouvoir mystérieux... Il regarda le poisson qu'il voulait attraper et se concentra... Il essaya plusieurs fois sans résultat, mais au bout d'un certain membres d'échec, le poisson sortit de l'eau, Maldrik était émerveillé, il avait réussit à contrôler son pouvoir il courra vers le poisson pour l'attraper, mais il n'était plus concentré, le poisson retomba dans l'eau et fila. Maldrik soupira.


*Ce n'est pas facile mais je dois y arrivé! Je n'ai pas d'autre choix!*

Maldrik se concentra une fois de plus, visualisa son poisson et fit appel à son pouvoir. Pour la deuxième fois, le poisson sortit de l'eau. Mais il restait une partie importante à faire. Maldrik redoubla de concentration et dans un énorme effort il parvint à faire venir le poisson jusqu'à dans sa main! Il resserra la main pour ne pas perdre le poisson, il retourna à son petit camp et tua le poisson, il sculpta une branche pour faire une baquette, il embrocha son poisson et le fit cuire avant de le déguster. Une fois de plus Maldrik devait sa survit à son pouvoir. Sa motivation avait augmenté d'un coup, il avait vraiment envie de connaître les autres possibilités qu'offrait son pouvoir. Il entama donc sa huitième journée de marche le lendemain. Et cette journée était une bonne journée, il arriva enfin à la ville! Aldera grande cité, capitale de la planète s'étendait à perte de vue. Maldrik franchit les portes de la ville. Mais soudain il se rendit compte de quelque chose, il ne savait pas ou aller, cette ville était vaste mais il n'avait aucune idée d'où pouvait se situer un pratiquant de la force. Il lui restait quelques pièces dans sa sacoche, il décida d'aller dans un bar pour se renseigner. Il entra dans une taverne ou jouait un groupe de Jazz, Maldrik alla s'assoir au comptoir, il appela le chef de taverne.


Maldrik Fabän: "Eh monsieur, vous ne savez pas ou je pourrai trouver quelqu'un capable de m'enseigner la Force?"

Tout le monde dans le bar se tût il y eu un grand blanc. Le tavernier se rapprocha de lui.


Tavernier: "Tu... Tu pratique la Force?"

Maldrik Fabän: "Oui et j'aurai besoin de quelqu'un qui puisse m'aider à mieux la maîtriser."

Tavernier: "Mon gars, il fallait y réfléchir avant, t'es bien trop vieux maintenant! J'ai entendu dire que les Jedis ne prenez sous leur aile que les enfants."

Maldrik Fabän: "De toute façon les Jedis ne voudront pas de moi, je n'ai pas un esprits pur, je veux juste trouver un spécialiste en la matière..."

Tavernier: "Hum... Pour devenir apprenti il faut respecter certaine condition c'est normal! Les Jedis ne peuvent pas prendre n'importe qui... Maintenant passe ta commande, j'ai pas que ça à faire que de te parler!"

Maldrik était dégouté, apparemment il n'y avait aucune solution pour lui d'apprendre à manipuler la Force. Tout le monde avait repris ses discutions. Maldrik commanda à boire et paya. Il alla s'installer sur une table un peu à l'écart du comptoir. Il commença à boire ce qu'il avait commender mais il entendis quelqu'un s'approcher de lui...
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Vahamon
Vahamon
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MessageSujet: Re: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeLun 3 Sep - 17:12

Ce rp se déroule trois mois avant celui sur Manaan.

«Et quand bien même l’apogée du Consulat Arkanien supplantera celui de la République, tant qu’il y aura la présence d’un véritable Sith, le Conseil Noir aura une chance de ressurgir, alors les Vestiges renaitront de leur cendre afin de créer l’Empire Sith le plus brillant, le plus puissant et le plus craint jusqu’à ce jour. La galaxie sera alors purgée de la corruption, détrônant les faibles du pouvoir et encouragent la culture de l’intelligence. La stupidité sera enrayée, les Jedi convertis et les faux Sith écrasés. »- Vahamon

Le vaisseau cargo dans lequel était installé Vahamon semblait ne pas connaître les secrets de l’hyper-espace. La lenteur à laquelle il voyageait n’avait cessait de décourager le Sith depuis son départ de Dromund Kaas. Le visage de celui-ci formait en ce moment même une moue d’impatience, si l’un des passagers du cargo s’était approché de lui, sans doute aurait-il utiliser la force afin de se laisser aller au plaisir de tuer celui qui aurait dérogé à la solitude dans laquelle il s’était volontairement plongé. Son maître, le Seigneur Vorkus, lui avait ordonné de se rendre sur Alderan afin de retrouver un contrebandier qui avait en sa possession un vieux sabre-laser appartenant à un ancien collègue Sith de son maître. Sa mission, on ne peut plus limpide, était de découvrir ce qui était arrivé au Seigneur Korkis. Comment était-ce possible que le contrebandier du nom de Vereck Irekos, un humain ayant une réputation de cachette rapide, avait-il récupéré le sabre-lasers d’un Seigneur Sith? Au départ, son maître avait voulu envoyer Elzek Morith à sa place, mais voyant que cela n’était pas une mission où l’étroitesse d’esprit était de rigueur, Darth Vorkus l’avait choisi dans l’espoir d’avoir toutes les informations possibles à sa disposition. C’était, par ailleurs, en cinq ans d’entraînement auprès du Seigneur Sith, la première mission à laquelle il était ultimement laissé à lui-même. Avant ce jour, Vorkus le faisait sadiquement souffrir en lui envoyant Elzek Morith à titre de chaperon, cet imbécile uniquement bon à manier un sabre-laser était constamment responsable pour la mort des « témoins » clefs qu’ils devaient interroger afin de faire avancer leurs missions.

C’était d’ailleurs, à la suite d’une chaine saugrenue d’évènements, qu’ils étaient arrivés à obtenir il y a quelques semaines le nom de Vereck Irekos. Lors d’une mission précédente, Elzek Morith avait brutalement tué la femme du contrebandier, sans penser à lui poser la moindre question. C’était alors, par un miraculeux hasard, que le fils de Vereck, âgé de 14 ans, était rentré dans la pièce et qu’il avait tenté de tuer le Twi’lek prométhéen qu’était Elzek, en voyant sa mère étendue sur le sol. Bien entendu, le jeune garçon fût rapidement désarmé et au moment où Morith s’apprêtait à le tuer avec la même hargne stupide dans le regard qu’il avait tué la mère, que Vahamon intervînt en le convainquant qu’il y avait un moyen de découvrir où était le père à l’aide du garçon. S’en suivit alors une joute verbale de pour et de contre, lors duquel Vahamon réussit à rejoindre son maître afin qu’il approuve sa décision de garder l’enfant en vie. Là où Morith voyait une autre victime, Vahamon voyait en lui un futur soldat d’une armée de Sith. Ils s’étaient donc mis d’accord à le garder en vie à condition qu’il rejoigne son père et qu’il lui donne rendez-vous dans une cantina miteuse d’Alderaan. Cette planète, sous juridiction républicaine, permettrait de donner une justification quant à la raison pour laquelle son fils désirait le voir en personne, sans parler du faux sentiment de sécurité que le contrebandier pourrait en ressentir.

Le Seigneur Vorkus avait été impressionné par son plan, rendant ainsi Morith jaloux, il avait eût le privilège pour cette mission de choisir qui l’accompagnerait. Une récompense, éphémère puisqu’il avait choisi d’effectuer cette mission seule. Son maître avait d’ailleurs été surpris par ce choix qu’il avait fait, croyant qu’il profiterait de cette mission pour donner des ordres à son rival, Elzek Morith. Bien que ce renversement de situation ait sans doute été des plus satisfaisants, il ne voulait pas avoir un mastodonte nuisant à la subtilité que requérait l’accomplissement de cette mission. Sans parler que Morith n’appréciait guère obéir à des ordres venant de créature à l’apparence plus fragile que lui-même, exception faîte de leur maître, qui pouvait l’immobilisé aisément d’une seule salve d’éclairs de la force. L’acolyte qu’était Vahamon n’avait aucun doute quant à la capacité qu’il avait à immobiliser ce Twi’lek mutant en combat, par contre il avait beaucoup plus de difficulté à imaginer devoir le faire au beau milieu d’une mission en territoire républicain. Les Sith n’étaient pas la bienvenue dans le système républicain, à moins bien sûr qu’ils ne fassent partie de la « prestigieuse » Garde Noire Sénatoriale.

Le visage de Vahamon se plissa dans un éclat de colère, il se remémorait la Garde Noire de l’époque où il était lui-même affilié à l’ordre Jedi. Il y avait alors ressenti son premier sentiment impur de haine, ces esclaves servant de mascotte « Sith » n’étaient que ridicules parias croyant en une République corrompus de l’intérieur, exposant une unité décousue et une puissance décadente. Il n’y avait là aucun honneur, aucune fierté, aucune gloire à rejoindre une république qui acceptait en sont seins à la fois les Jedi et les semblants de Sith. Son opinion était à la fois claire et tranchante, ceux-ci devaient être convertis où bien éliminer pour le bien et la stabilité de la galaxie. Seul un Empire Sith avait la force, la puissance et l’autorité nécessaires pour amener la «pax galaxia » à travers la galaxie. Pour ce faire, le conseil noir devait être réinstauré, un empereur Sith devait monter sur le trône et les Vestiges de la puissance Sith devaient être réunifiés. Tel était l’objectif de Vahamon, trouvez un Seigneur Sith suffisamment digne et puissant afin de l’aider à accomplir ce qui semblait en ce moment même impossible. L’ex Jedi n’avait aucun plaisir à servir Vorkus, il le considérait comme un abruti incapable de voir plus loin que l’objectif présent, incapable de concevoir un schéma pour l’avenir, une préparation pour l’unification des Sith! Celui-ci n’avait d’ailleurs aucune armé à sa disposition, que des agents recrutés pour son bon plaisir, dissimulés à travers la galaxie et lui relayant quelques informations utiles, ici et là. C’était le seul étendu de la puissance de son seigneur. Ce qui semblait amusant dans cette situation, c’est que Vahamon se préparait lentement mais surement à renverser Vorkus. Il avait déjà établi quelque contact avec d’anciens agents Sith, recrutant certains individus assoiffés de voir les vestiges Sith se réunifier à nouveau dans la centralisation d’un pouvoir commun.

L’un de ses accomplissements qui le rendaient le plus fier était les informations qu’il avait laissées transparaître à travers les « royaumes » d’autre Seigneur Sith. Vorkus était responsable pour la tentative d’assassinat de certains Seigneur Sith, tentative d’assassinat qui avait été prévenu grâce aux informations que Vahamon avait envoyées, sans demander la moindre chose en retour, à chaque fois les assassins de Vorkus avaient été mis en déroute, et celui-ci avait par prudence décidé de se débarrasser de sa petite flotte afin de voyager en vaisseau-cargo, sachant pertinemment que les Seigneurs Sith qu’il avait tentés d’éliminer étaient activement à sa recherche. Le chevaleresque guerrier de la télékinésie ne voyait néanmoins pas tout cela comme une trahison, plutôt comme un gage de fidélité envers la puissance des Sith. La puissance des Sith ne se trouvait pas dans l’assassinat des Seigneurs de Guerre Sith, mais bien dans la réunification de ceux-ci. Pour reconstituer la puissance de l’Empire Sith, ceux-ci devaient mettre leurs différends de côté et s’allier afin de choisir un nouvel Empereur Noir. La situation des Vestiges du pouvoir central Sith était précaire, entre la République et le Consulat Arkanien il était évident que si l’Empire Sith émergeait soudainement des ténèbres, le Consulat et la République s’allieraient afin de détruire les Vestiges de l’Empire Sith une fois pour toutes. Cela ne devait pas arriver, chaque action devait être méticuleusement préparée et ce n’était certainement pas Vorkus qui en était capable.

Le Sith animé par un désir philosophique, fût soudainement retiré de ses penser, le vaisseau Cargo entra finalement dans le système d’Alderaan. Vahamon s’assura donc d’avoir tout ce qui lui était nécessaire à sa survie, son sabre-laser pendant à la ceinture, son « holo-identificateur » revêtant son ancienne identité de Jedi, sa réserve de crédit puisé à même les fonds de son maître. Il réajusta sa ceinture, réajusta le capuchon de son obscure bure et il avança jusqu’au contrôle de sécurité. Le statioport d’Aldera était un endroit gigantesque, un lieu dans lesquels les touristes et les gens d’affaires affluaient constamment, lorsque son identité fût déclinée et vérifiée, l’un des chefs de la sécurité le salua en l’appelant Jedi. Vahamon résista bien évidement à l’envi d’égorger via la force l’impudent qui l’avait appelé Jedi, puis il respira calmement en s’armant d’un faux sourire et il partit en direction de la cantina qu’il devait trouver. Il prit évidement un « taxi » lui permettant d’atteindre son but avec une plus grande facilité, se retrouvant alors dans la partie la plus désagréable d’Aldera, l’endroit était affreusement laid, débordant de clochard ici et là, demandant la charité, des crédits où de la nourriture. Devant l’un d’eux, Vahamon s’arrêta brusquement et secoua tristement la tête, il s’agissait là d’une preuve irréfutable de la corruption républicaine, de la faiblesse du système politique républicain. Au sein de l’Empire Sith, seuls les forts survivaient, les faibles seraient relégués au rang de serviteur ou d’esclave, ils serviraient ceux qui ont la puissance de les protéger, de leur donner un toit et de les aider à survivre. La seule chose qu’ils devraient faire en retour? Servir loyalement leurs maître, certains pourrait même s’engager dans les forces Sith afin d’augmenter leur statue sociale. Vahamon assistait en ce moment à la pire des dépravations, à la faiblesse ultime de la République, à la corruption des faibles qui augmentait constamment.

Dans cet état d’esprit, devant ce pitoyable spectacle qui s’offrait à lui, le chevaleresque guerrier obscur de la force pénétra dans la cantina «Du Dernier Refuge » où il devait retrouver celui auquel il avait faussement donné rendez-vous. Comme tout bon instigateur de plan maléfique, Vahamon était largement en avance, observant les lieux d’un coup d’œil rapide, il alla s’assoir dans l’endroit le plus obscur de la salle. Une Twi’lek chantait sur la scène de représentation, quelques Rodiens étaient assis à proximité de lui et ils semblaient être perdu dans une profonde conversation, la plupart des clients néanmoins avaient tous les yeux rivés sur la chanteuse, la voix de celle-ci n’était pas particulièrement impressionnante, mais elle n’était pas non plus désagréable au point de mérité un subtil étranglement de la force. Le sourire de Vahamon s’élargit alors qu’il imagina la scène dans sa tête, comment réagirait les clients de la cantina? Est-ce certains essayeraient courageusement de l’arrêter? Où est-ce qu’ils s’enfuiraient enclins à ce sentiment primitif qu’était la peur d’autrui. Cette pensée n’était rien de moins qu’une source d’amusement pour le Sith, il ferma alors lentement les yeux afin de penser au plan qu’il avait préparé. Quelques minutes s’écoulèrent, durant lesquels il mangea, but une boisson alcoolisé qu’il ne connaissait pas, sans doute une spécialité locale, puis son attention fût soudainement attiré par un enfant pénétrant dans la cantina.

Vahamon plissa les yeux, il émanait du jeune homme une affinité naturelle avec la force puis son regard s’élargit alors que le jeune homme demanda naïvement au tavernier si il savait où il pourrait trouver un « enseignant » de la force. À ces mots, Vahamon ouvrit la bouche, fronça les sourcils, puis ferma la bouche avant d’éclater d’un rire sonore. Les yeux des clients étaient à présent rivés sur le jeune homme, certains riaient à gorge déployée, alors que certaines clientes le trouvaient « mignon ». Quelques minutes passèrent et les clients retrouvèrent leur discussion habituelle, le jeune homme qui était entré dans la cantina se mit alors à boire ce que le tavernier lui donna. Le Sith en profita donc pour se lever, s’approchant d’un pas lent, mais assuré vers le jeune homme qui était à présent à l’écart du comptoir. Il s’assit alors à côté de lui, puis d’un coup d’œil vers la porte, il aperçut sa cible, Verreck Irekos, pénétrer dans la cantina et s’installer dans un des coins sombres de l’endroit, scrutant la cantina avec acuité. Le Sith grogna mentalement, puis il eût soudainement une idée, peut-être que ce jeune homme était véritablement digne de devenir un Sith.

«Il est dangereux, mon garçon, dit-il d’un ton sans complaisance en s’adressant au jeune homme, de pénétrer dans une taverne et d’affirmer avec convictions, et ce, devant tous, l’impureté de son esprit ainsi que son désir de trouver un professeur à travers la force. Peut-être puis-je néanmoins être d’une quelconque utilité à votre personne, mon garçon, si bien sûr vous prouvez votre valeur.

Vous voyez cet homme là-bas, fît-il en pointant le grand gaillard habillé en bleu et noir, il se nomme Verreck Irekos et il a acquis un objet précieux appartenant à un puissant Seigneur de Guerre, si vous réussissez à découvrir dans quelle circonstance il a récupéré cet objet ainsi que ce qui est advenu de ce Seigneur de Guerre, je vous enseignerais à maîtriser votre pouvoir. Maintenant, ne posez pas de question et prouvez moi votre valeur, vous serez jaugé, évalué et noté. Si vous, vous retrouvez en danger, criez le nom de « Vahamon » et je serais à vos côtés en quelques secondes. »


Vahamon regarda alors intensément le jeune garçon en se demandant si celui-ci allait être à la hauteur de la tâche, si il jugeait que c’était le cas, il aurait la fierté d’avoir un nouvel apprenti!
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Maldrik Fabän
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MessageSujet: Re: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeMar 4 Sep - 11:42

Maldrik écouta l'homme sans dire un mot. Ce qu'il lui révéla lui redonna espoir, peut être pourrai t-il enfin vivre normalement, ne plus avoir à mendier. Peut être pourrai t-il exploiter son pouvoir pour arriver à ses fins. Maldrik se faisait déjà un scénario, lui qui avait vécu une grande partie de sa vie dans les rues d'un quartier crasseux se voyait déjà dans une villa. Mais il revient à la réalité, pour avoir une chance d'avoir une vie meilleure, il devait faire ce que cet inconnu lui a demandé de faire. Mais une idée lui vint à l'esprit

*Et si ce gars ce foutait de moi? Peut être qu'il veut me faire passer pour un idiot... Peut être que ce Verreck n'a pas ce fameux objet... Mais si je ne fais pas ce qu'il me dit, je ne pourrai jamais apprendre à contrôler mon pouvoir...*


Maldrik se leva alors. Il jeta un œil au fameux Verreck Irekos. Ce dernier buvait et avait l'air d'attendre quelqu'un, il avait l'air costaux, sa taille imposait le respect, enfin pas pour quelqu'un qui peut utiliser la Force. Maldrik s'avança jusqu'à ce personnage. Ce dernier tourna la tête vers le jeune homme et attendit qu'il soit près de lui.


Verreck Irekos:
"Qu'est que tu me veux gamin?"

Maldrik Fabän: "Oh oh, je te conseillerai de me parler autrement mon gros!"

Verreck Irekos: "Quoi? Tu veux que je montre du respect envers un gamin?"

Maldrik Fabän: "Eh eh, je ne suis pas un gamin comme les autres!"

Verreck Irekos: "Ah oui, et qu'est que tu as de si spécial?"

Maldrik Fabän: "Hum... Ce n'est pas la question, je veux des informations!"

Verreck Irekos: "Ohhhh, tu me manque de respect et tu veux mon aide maintenant? Tu en a peu dans le cerveau mon petit gars!"

Maldrik Fabän: "Ce ne sont pas vraiment des informations ordinaires, je veux des informations sur cet objet que vous avez acquis de la main d'un seigneur sith..."

Verreck Irekos: "Ah ah ah ah... Un stupide gamin me demande une information secrète... Tu crois réellement que je vais te le dire?"

*Bien on passe au plan B*


Maldrik Fabän: "Je suis certains que les agents de la République seront intéressés par le fait qu'un brigant comme toi possède un objet appartenant à un maître sith!"

Verreck Irekos: "Ne parle pas aussi fort bon sang!! Tu va pas me dénoncer pas vrai? Il ne doive pas savoir que je suis un contrebandier!"

Maldrik Fabän: "Contrebandier... Intéressant, tu viens de me donner une autre méthode pour te faire mettre derrière les barreaux! Mais je ne vais pas te dénoncer si tu me donne les informations que je veux!"

Verreck Irekos: "Ok, ok, je te dirai tout! Que veux tu savoir?"

Maldrik Fabän: "Je veux savoir comment tu as obtenu ce fameux objet et qu'est qui est arrivé au seigneur sith! Dépèche toi, j'ai pas toute la journée!"

Verreck Irekos:
"Bon d'accord... Je vais te dire ce qui s'est passé... J'étais sur Dantooine pour récupérer de la marchandise dans le but de la revendre à des clients dans les mondes du noyau... Donc, une grosse cargaison d'explosifs, près du temple Jedi de Dantooine... Je me suis rendu sur place et j'ai vu que la personne devant me donner les explosifs et ses employés étaient morts. J'ai paniqué et je me suis cacher pour regarder ce qui se passait. Des chasseurs de primes, ou hommes engagés étaient en train de transporter les explosifs vers le temple Jedi... Mais un homme, portant une capuche ne bougeait pas, il semblait attendre que les autres fassent quelque chose. J'attendis alors que les hommes s'en aille. Il ne restait plus que l'homme à la capuche. Il resta un long moment sans bouger. Soudain un enfant arriva et sembla surpris, de voir ce massacre, tant d'homme abattu. Mais il aurai mieux fait de s'en aller, quand l'homme le vit, il dégaina... Un sabre laser!! C'était un Sith!! Il s'approcha du gamin et le tua avant de rengainer son arme. J'étais furieux, ces explosifs était un gros contrat qui devait me rapporter beaucoup... Mais je compris quelque chose, le Sith avait l'intention de faire exploser le temple Jedi!! Le Sith attendit, puis les hommes revinrent vers lui. Ils lui dirent qu'ils avaient finit et qu'il fallait maintenant les payer. Le Sith rigola et les tua avec son sabre laser, il récupéra la télécommande des explosifs. Soudain, je ne sais pas ce qu'il m'a prit, je suis sortit de ma cachette, j'ai pris mon blaster et je l'ai abattu. Je ne pouvais plus récupérer les explosifs à mon de me faire repéré et arrêter. Je m'approcha alors du Sith mort, il n'avait pas grand chose sur lui a par ce sabre laser... Je le prit et m'en alla en courant. Voilà ce qu'il s'est passé. Les explosifs ont ensuite été enlevé du temple Jedi, personne n'a compris comment ils sont arrivés la bas..."

Maldrik Fabän: "Bien, j'ai ce que je voulais. Une dernière chose, ou a tu mit le sabre laser?"

Verreck Irekos: "Ah non! J'ai fait ce que tu voulais ça suffit!"

Maldrik Fabän: "Ok ok, c'est vrai, je vais tenir parole je ne te dénoncerai pas."

Maldrik lui tourna le dos content de savoir ce qu'il voulait, il retourna à la table ou ce trouvait l'homme qui lui avait demandé d'accomplir cette tache.


Maldrik Fabän: Monsieur... J'ai les informations que vous vouliez...

Maldrik lui raconta tout et attendit sa réaction.
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Vahamon
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MessageSujet: Re: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeMar 4 Sep - 21:29

«Le côté obscure de la force doit puiser sa puissance, non pas dans une philosophie unique, mais dans un ensemble de préceptes pouvant s’assembler les uns dans les autres afin de recréer une unité et un Empire qui renaîtra de ses cendres. » -Vahamon

Le Sith portant le titre d’acolyte observait le jeune homme accomplir la mission qui lui avait été imparti. Il observa la situation avec un certain doute, sachant pertinemment que les choses pouvaient rapidement dégénérées, cela ne serait pas la première ni la dernière fois qu’une possibilité d’attirer les problèmes serait à sa portée. Vahamon décida néanmoins de garder un œil vigilant, voire presque protecteur, sur le jeune homme qui pourrait se montrer digne d’être son apprenti. Commandant une boisson alcoolisée au barman, il se laissa bercer par la voix de la chanteuse Twi’lek, celle-ci était décidément ravissante, bien que son talent pouvait être mis à l’épreuve, sa beauté elle, ne faisait aucun doute. Il ne comprenait pas néanmoins l’importance de cette priorité dans un endroit comme celle-ci, le propriétaire de l’endroit avait sans doute engagé cette Twi’lek pour la forme des courbes qu’elle revêtait et très certainement pas pour ses talents de chanteuse. La foule de la cantina était par ailleurs massée en avant de la scène, la charmante Twi’lek avait amorcée une danse excessivement osée, provoquant l’immoralité visuelle chez ceux qui avait, à n’en pas douter, une nature plutôt prude. Vahamon ricana alors secrètement, observant même le barman prêter attention au charme de cette danseuse, car à présent c’est ce qu’elle était. Celle-ci poussa l’audace encore plus loin, alors que la conversation entre le jeune homme et le contrebandier s’échauffait, elle attira un Rodian sur la scène, le fit assoir sur un tabouret et fit saliver l’audience d’envie d’être à la place du Rodian.

Vahamon se retourna vers son futur apprenti qu’il n’avait pas perdu du coin de l’œil, Irekos n’avait pas fait de mouvement rapide vers la poigne de sa ceinture, un bon signe en soi. Celui-ci s’attendait à retrouver son fils, peut-être était-ce la raison pour laquelle il n’avait pas encore dégainé une arme, peut-être même que la vision d’un enfant chez le contrebandier lui passait l’envie d’en venir au laser avec le jeune homme, se remémorant son propre fils. Mais tout cela n’était que simple supposition, basé sur une analyse psychologique principalement indirecte, il n’avait eût qu’un rapport circonstanciel de temps, de lieu et d’émotivité dans le dossier qu’il avait créé sur cet individu. Le Sith était néanmoins loin d’être stupide, il savait fortement bien que si il avait été celui qui avait été à la rencontre de ce contrebandier, celui-ci aurait dégainé son blaster et l’aurait attaqué, braquant ainsi tous les regards sur lui, sur son pouvoir en travers de la force et éventuellement, sur un crime qu’il aurait commis. L’utilisation indirecte de son futur apprenti avait dès lors deux phases, l’une était de tester les capacités de ce jeune garçon et l’autre était d’éviter les regards sur sa personne.

La rencontre entre le jeune homme et le vieux contrebandier sembla touchée à sa fin, le jeune homme arriva près de lui et lui raconta la charmante histoire que lui avait relatée le contrebandier. Vahamon écouta attentivement le jeune homme, ne l’interrompant aucunement afin de lui démontrer le respect dût à son rang futur, il ne tolérait pas qu’un maître soit irrespectueux envers son apprenti, le maître avait un devoir envers son protégé, et quand bien même que ce qu’il entendait ne lui plairait guère, il savait que la clef de la réussite dans l’éducation d’un jeune homme était la patience. L’histoire que lui avait raconté son futur apprenti, si elle avait été un conte de fées, aurait sans dû put tiré une larme de la part du Sith, peut-être était-ce par amusement où tout simplement par arrogance, mais il lui semblait impossible qu’un contrebandier, aussi minable que Verreck Irekos, soit capable d’une manière ou d’une autre de détruire un Seigneur Sith aussi puissant que Darth Zorkas Ce dernier avait été le maître de Vorkus, un être tout de même capable d’une bonne maîtrise en travers la force et le fait que Darth Zorkas n’ait pas été tué par Vorkus lui indiquait que ce dernier se sentait inférieur à son propre maître. Il l’avait donc servi fidèlement, peut-être avait-il tenté d’attenter à sa vie, mais si c’était le cas, ce dernier avait survécu et n’avait pas tenté de se venger durant ses cinq dernières années.

Non! Cette histoire n’avait aucun sens, seule une escouade d’élite pouvait éliminer Darth Zorkas, un tout puissant Seigneur de Guerre, maîtrisant la force avec une agilité remarquable, âgée de plus de 200 ans. Vahamon fixa alors de ses yeux noisette son futur apprenti, celui-ci lui avait raconté les faits sans émettre le moindre commentaire, sans parsemer le récit de ses impressions, de ses réactions où de ce qu’il croyait et ne croyait pas. Pour un Sith conventionnel, ce jeune homme était parfait, pour un Sith aussi ambitieux que Vahamon, néanmoins, ce Sith avait beaucoup à apprendre. La première des choses était sans doute d’être en mesure d’interroger un potentiel suspect, la deuxième était de faire preuve d’une certaine latitude et d’une certaine créativité. Lorsque les choses semblaient trop faciles, un être, quel qu’il soit, devait faire preuve de méfiance. L’instinct pour un utilisateur de la force était parfois ce qui différenciait ceux qui étaient aptes à survivre, de ceux qui étaient prédestinés à une mort certaine. D’autres, à l’inverse, se laissaient aveugler par ce même instinct jusqu’à en perdre tout contrôle, l’unique voie vers la victoire était un contrôle absolu entre l’instinct et la raison, la froideur analytique et le feu d’une débordante passion. La passion était d’ailleurs quelque chose que Vahamon devait combattre à tout instant, cette passion qui se transformait en une ambition démesurée, ce but unique de s’élever à un rang prestigieux, non pas uniquement pour lui, mais pour faire renaître les Vestiges d’un Empire révolu. Il devait donc, en ce moment précis alors que son futur apprenti le regardait, se montrer dur, mais juste.

« Mon garçon, dit-il d’un ton ne démontrant aucune sympathie, vous êtes encore jeune et naïf. Pour cette fondamentale raison, votre échec sera pardonné. Néanmoins, sachez que je suis un Sith, je ne vous mentirais point en vous cachant que selon les normes, je ne suis encore qu’un acolyte, par contre vous devez comprendre que j’ai accès à de grandes réserves de puissance dans le côté obscur de la force. Un Seigneur Sith est, habituellement, plus puissant que moi, plus agile et beaucoup plus difficile à tuer. Vous avez crû les paroles de ce contrebandier et si ce n’est pas le cas, vous ne m’avez pas fait part de vos doutes. Chez d’autres Sith, le fait d’avoir crût si aveuglement qu’un contrebandier pouvait arriver à la cheville d’un Seigneur Sith serait perçu comme une insulte, un affront et un défi. N’ayez crainte cependant, je ne suis pas de ceux-là, je crois plutôt que vous souffrez d’un mal que nous appelons l’ignorance, vous n’avez sans doute jamais contemplé les pouvoirs d’un véritable Sith. Suivez-moi maintenant, mon garçon, je vais vous montrer ce qu’un Sith a le pouvoir de faire. »

Vahamon gratifia le jeune homme d’un sourire, après tout il ne voulait pas l’effrayer, seulement lui faire comprendre qu’il avait échoué sa première mission. Il garda cependant pour lui-même le châtiment qu’il lui réservait si, en toute connaissance de cause, il sous-estimait à nouveau la puissance d’un Seigneur Sith. Son visage ce fît soudainement sombre, puis d’une petite tape contre son épaule, il l’encouragea à la suivre. Le Sith s’approcha du contrebandier, le regard ahuri de celui-ci aurait valu mille crédits, si il avait eût de l’argent à gaspiller, un rictus mauvais se dessina sur son visage. Alors que le contrebandier ouvrît la bouche, Vahamon le regarda dans les yeux, leva la main vers lui et il lui coupa la parole. «Nous sommes de vieux amis, dit-il en appuyant chacun de ses mots à l’aide de la force, vous allez nous guidez jusqu’à vôtre lieu de résidence et nous inviter à nous désaltérer. » «Mon vieil ami, commença le contrebandier d’un ton détendu, pourquoi ne vous suivez-vous pas jusqu’à chez moi prendre un bon rafraîchissement? »

Le Sith se retourna vers son futur apprenti et il lui sourît fièrement, puis il regarda de nouveau le contrebandier et celui-ci leurs fît signe de le suivre. Un être aussi facilement manipulable en travers de la force ne pouvait aucunement avoir vaincu un Seigneur Sith, maintenant il en avait la certitude. Vahamon suivit donc l’homme d’un âge aussi mûr que lui, jusqu’à son lieu de résidence. « L’hôtel temporaire » de cet homme était d’une luxueuse décoration et lorsqu’il y pénétra, il aperçut quelques décorations prônant la puissance du consulat Arkanien. Quelques figurines représentaient le Premier Consul Skyuur avait une fidélité hors du commun. Il observa, d’un coup d’œil rapide, les autres babioles qui s’étalaient en travers de l’appartement du contrebandier, aucun signe d’un quelconque piège. Aucun signe non plus que le contrebandier ne pouvaient être plus que ce qu’il ne paraissait être. Décidément, Verreck Irekos n’était qu’un contrebandier faiblard, sans aucune chance de vaincre un Sith, quel que soit le rang que celui-ci aurait pût revêtir.

Lorsque ce dernier revînt avec un plateau sur lequel étaient posés trois rafraichissements, Vahamon leva une main vers la porte de la chambre d’hôtel et il la referma à l’aide de la force. De sa main droite, il pointa alors en direction du contrebandier et il laissa la force du côté obscure affluer dans ses veines. Il ressentit alors la jouissance que ce pouvoir lui procurait, l’obscurité des ténèbres l’envahissant, le baignant d’un pouvoir que seul l’adepte de l’obscurité ne pouvait connaître. D’un geste théâtral, il leva lentement sa main dans les airs, pointant toujours le contrebandier, et au fur et à mesure que sa main se redressait, le contrebandier était soulevé de plus en plus haut dans les aires. De sa main gauche, Vahamon pointa la gorge de son adversaire et il resserra lentement son étreinte dans le vide, fermant le poing jusqu’à ce que la jonction de ses doigts ne s’écrase dans la paume de sa main. Le contrebandier suffoquait lentement, bien entendu, si Vahamon l’avait voulu, l’exécrable pachyderme serait mort en l’espace de quelques secondes, mais il faisait montre d’un certain plaisir à contrôler l’intensité de son pouvoir, il ressentait chacune des pulsations qui émanaient de son corps, chaque souffle qui émanait de sa victime, jusqu’à ce que finalement il ne brise volontairement l’étreinte en projetant son ennemi violent contre un mur.

Le contrebandier était à présent sonné contre un mur, le visage ensanglanté et le souffle coupé, il haletait devant Vahamon, le souffle court, un genou sur le sol, la tête penchée et le corps recourbé. Celui-ci ne dit pas le moindre mot, mais dans un élan de désespoir, il tentât de s’emparer de son blaster. Certains êtres étaient plus courageux que d’autres, le chevaleresque guerrier des ténèbres qu’était Vahamon l’admettait volontiers. C’était d’ailleurs un geste admirable de sa part, alors que d'autres auraient abandonné à ce moment-ci, sachant être totalement vaincus, le contrebandier bedonnant tentait une dernière fois de sauver son abracadabrante existence. Néanmoins, les dés en étaient déjà jetés, le destin avait été écrit dans le côté obscur de la force, avant même que le contrebandier n’ait le temps de pointer son arme vers lui, Vahamon le désarma à l’aide de la force, amenant le blaster jusqu’à lui. Il l’observa un instant et il le jeta au pied de son futur apprenti. Dans un geste aussi théâtral que le précédent, Vahamon se départit de sa tunique, ne revêtant que le bas de son habit. Son futur apprenti pouvait voir, sans surprise, l’absence de muscle excessivement développé, il était bien évidemment dans une forme physique irréprochable, mais il devait admettre que son esprit était beaucoup mieux entraîné que son corps. D’un rire moqueur, il observa longuement le contrebandier qui se relevait péniblement, le regard hagard, le visage ensanglanté, son attitude n’avait néanmoins rien de celui d’un vaincu. Il leva les épaules, redressa les coudes et il lui fît face dignement.

« Mon garçon, dit-il en tournant la tête vers son futur apprenti, la force est un pouvoir à travers lequel notre philosophie se marie à merveille. Il y a, à travers notre enseignement, des divergences majeures. Certains préfèrent se concentrer sur le maniement du sabre, d'autres préfèrent se concentrer sur l’utilisation de la force de diverses façons. Pour ma part, les arcanes du côté obscur me servent à affûter mon talent de la force à travers les pouvoirs de télékinésie. »

Le contrebandier tenta de profiter du fait que Vahamon avait la tête tournée afin de tenter de s’enfuir, comme le Sith l’avait si bien mentalement prédit. Avant que le contrebandier ne puisse atteindre le bouton d’activation de la porte de la pièce, Vahamon effectua un saut vers l’avant et il atterrit en face de l’individu ayant un surplus important de poids. Il leva alors le genou et d’un coup vicieux il le frappa directement dans l’entrejambe, le contrebandier tenta de riposter avec un coup de poing latéral vers la droite, mais Vahamon sa main gauche plus rapidement et il le repoussa d’une violente vague en travers de la force jusqu’à ce que celui-ci ne soit coincé entre lui et le mur, de son autre main il le souleva en travers de la force et il le maintînt dans les airs en le fixant ardemment.

«Ainsi donc, dit-il d’un ton moqueur, le grand Verreck Irekos a vaincu le tout puissant Darth Zorkas? C’est du moins ce que laisse entendre la rumeur, c’est du moins ce que vous avez dit à ce jeune homme. Auriez-vous tenté de ridiculiser un Sith, par hasard? Je dois admettre que je m’attendais à une plus grande résistance de la part d’un tueur de Seigneur Sith! Il suffît maintenant, dîtes-moi ce qui est véritablement arrivé à Darth Zorkas et comment vous avez fait pour entrer en possession de son sabre-laser!»

« Je ne vous dirai rien, cracha le contrebandier avec hargne, de toute façon vous allez m’éliminer dès que je vous aurais tout dévoilé! »

Vahamon éclata d’un rire sonore, le contrebandier avait un retard considérable sur l’analyse de la situation, il n’avait pas encore fait le lien avec le « rendez-vous » que lui avait soumis son fils par voie de l’holonet. Vahamon relâcha alors son étreinte en travers de la force, laissant tomber le contrebandier sur le sol, il heurta au passage les boissons qu’il leur avait si naïvement apportées. Il le dévisagea d’un obscur regard, laissant le suspense planer dans la pièce, est-ce que le contrebandier allait survivre?

« Vous, vous méprenez sur mes intentions, continua Vahamon d’une voix plus douce, je n’ai nullement l’intention d’achever votre pitoyable vie, si je l’avais réellement voulu, vous seriez mort en quelques secondes. Non, mon cher ami, je voulais démontrer à mon apprenti ici présent qu’il n’y avait rien de plus puissant que la volonté de survivre, que la volonté de vivre peu importe les circonstances ainsi que les choix qui s’offrent à nous néanmoins, il y a quelque chose d’encore plus puissant que cette volonté, un sentiment que peut de Sith peuvent ressentir et par conséquent ceux-ci sont laissés dans l’ignorance. Une telle puissance, dit-il cette fois en se tournant vers son futur apprenti, ne peut n’y ne doit être ignoré où encore laisser au simple courant hasardeux de la force. Non, il y a dans les liens de l’amour une connexion assurément plus forte que la force en elle-même. Il n’y a d’ailleurs rien de plus puissant que l’amour paternel, l’amour qu’un homme peut ressentir envers son fils, n'est-ce pas, monsieur Irekos? »

Celui-ci ne semblait guère comprendre, il observait les deux Sith d’un œil méfiant, observant aussi du coin de l’œil la sortie qui s’offrait à lui, cette douce sortie qu’il ne pouvait espérer franchir sans causer sa propre perte. Puis soudainement, son regard devant luisant, la lueur de minces larmes d’épouvantes se forma en dessous de ses yeux. Il ouvrit la bouche, commença une phrase, puis il se ravisa, enfin d’un regard résigné il baissa la tête.

« Vous avez compris maintenant, ajouta Vahamon d’un ton sérieux, monsieur Irekos? Se moquer un tant soit peu de la puissance Sith a des conséquences plus que sérieuses, vous en avez eu la démonstration aujourd’hui. Demain, c’est peut-être la tête de votre fils qui pendra à votre porte. Oui, monsieur, votre femme a été tuée par l’un de mes collègues, mais votre fils est toujours en vie. Je l’ai sauvé des mains d’une brute dégénérée ne voyant que le sang et la mort, il est présentement sur Dromund Kaas, s’entraînant à devenir un agent Sith. Ne vous inquiétez pas, vous pourrez toujours communiquer avec votre fils, vous pourrez même lui assurer sa protection… Si vous me dîtes tout ce que vous savez bien sûr... »

Le visage du contrebandier sembla être plus calme, il savait à présent que son fils était en vie et il semblait d’ailleurs beaucoup plus apte à coopérer.

« L’alliance Jedi, cracha-t-il avec dégoût, lorsque j’ai su qu’un Seigneur Sith était sur Dantooine, j’ai contacté le Consulat Arkanien et j’ai reçue 100 000 milles crédits uniquement pour cette information. Une équipe de trois Jedi est alors apparût quelques jours plus tard sur Dantooine et ils ont capturé le Seigneur Sith. Il était toujours en vie, mais enchainé lorsque je l’ai vu pour la dernière fois. C’est à ce moment que j’ai récupéré subtilement son sabre-laser, l’alliance a dit de les recontacter si je voyais la trace d’un autre Sith en territoire Républicain, ils me payeraient la même somme! »

Vahamon récupéra alors le sabre-laser qui était accroché à la ceinture du contrebandier à l’aide de la force, il le fit léviter jusqu’à lui et il le tendît dans les mains du jeune apprenti.

« Mon garçon, dit-il avec un léger sourire, voici votre premier sabre-laser. Une relique du passé ayant appartenant à Darth Zorkas. Vous êtes maintenant en bonne voie d’être mon apprenti… Par contre vous devez me dire votre nom et avant que je sois toutefois décidé à vous enseignez, vous devez me dire ce que vous pensez de cette situation. Est-ce que cette version des faits vous semble plus logique, est-ce que nous devrions tuer le fils de Irekos afin de nous en assurer, où peut-être tuer Irekos lui-même. Selon vous, mon garçon, est-ce que nous devrions remonter plus davantage la piste de l’Alliance Jedi, utiliser Irekos comme espion en nous servant de son fils ou avez-vous une autre idée derrière la tête? »

Vahamon sourit intérieurement, il ne laissait néanmoins rien transparaître de son amusement, gardant un visage de marbre. Cette situation l’amusait vivement, le jeune apprenti avait devant lui un choix qui allait, non seulement affecter sa destinée, mais celle de son futur maître, celle d’Irekos, de son fils et peut-être même celle de Darth Zorkas. Le Sith croisa les bras en revêtant de nouveau sa tunique, il observa le jeune homme avec une attention particulière et il le fixait avec une remarquable intensité.
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Maldrik Fabän
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MessageSujet: Re: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeMer 5 Sep - 11:44

Maldrik était impressionné par la puissance de son futur maître. Et de son intelligence aussi. Il n'avait pas tout compris de l'histoire, mais néanmoins il savait un peu plus à quoi s'en tenir. Maldrik avait été naïf à la cantina. Serte il avait récupéré des informations comme convenu mais il n'avait pas vérifié que ces informations soient vraies. Il était impressionné aussi part son ignorance. Son futur maître utilisait souvent le mot Sith mais Maldrik ignorait ce que c'était. Il pensait que les adeptes de la forces étaient appelés Jedi... Mais il s'en préoccupait lui ce qu'il voulait c'était survivre, que ce soit en faisant le mal ou bien en faisant le bien, ça lui était égal. Quelque chose surpris Maldrik. Son futur maître avait fait souffrir ce vieux contrebandier juste pour une information. Alors que Maldrik lui utilisait son pouvoir seulement pour survivre. Il se rendit alors compte que la Force pourrai lui offrir bien mieux que la survie. Elle pourrai lui offrir la richesse la gloire. Néanmoins Maldrik s'imaginait des choses avec les informations qu'il possédait, en réalité il était vraiment loin de la vérité. Mais Maldrik ne s'en doutait pas un instant. En contemplant les action de son futur maître, il avait prit conscience de l'importance de la Force. Maldrik avait remarqué quelque chose d'autre. La cruauté de son futur maître. Il n'avait jamais rencontré quelqu'un de si cruel, à part... les bandits qui avaient tué ses parents et brulé sa maison. La différence entre les bandits et son futur maître était bien évidemment l'intelligence. Les bandits qui avaient assassinés ses parents étaient des idiots, des brutes, ne contant que sur leur force. Son futur maître lui alliait sa cruauté et son intelligence de manière parfaite. Avec l'aide de la force et de son cerveau il avait obtenu la réponse qu'il voulait facilement. Maldrik voulait apprendre, il voulait comprendre son pouvoir, sa survie était en jeu, il n'avait presque plus de crédits s'il ne parvenait pas à devenir l'appentis de ce Sith,il retournerai dans la rue à faire des petit larcins. Il le savait, c'était un tournant important de sa vie. Maldrik était plongé dans ses pensée quand il revint à la réalité, il tenait ce sabre laser à la poignée magnifiquement sculptée et le regardait, imaginant les combats qu'il avait livré. Les mains dans lesquelles il avait été tenu. Mais désormais ce n'était plus le temps de rêver il fallait répondre à la question de son futur maître, un choix s'offrait à lui.

Maldrik Fabân: "Mon nom est Maldrik Fabän monsieur. Je pense que cette version des fait est plus valable que celle que je vous avez rapporté. Je m'excuse auprès de vous pour mon ignorance, vous m'avez demandé quelque chose d'important et je l'ai peut être trop pris à la légère. Néanmoins si vous voulez toujours de moi comme apprentis je vous en serrai reconnaissant et je veillerai à ne plus faire d'erreur. Je vais maintenant vous dire mon avis sur tout ça. Je pense que Irekos nous dit la vérité, il a subit la puissance de votre pouvoir. Je pense qu'il dit la vérité car il sait que vous pourriez le tuer facilement tout comme son fils. C'est certain, à moins qu'il ne soit fou, cet homme dit la vérité. Je ne pense pas que de tuer son fils soit nécessaire. Néanmoins, d'après ce que j'ai compris, ce vieillard a volé un bien précieux à l'un de vos amis. De plus, il pourrait rapporté votre présence à la République. Le laisser en vie pourrai être néfaste. De plus c'est un menteur et un roublard. Et pour finir, si vous le tuez, son fils ne voudra pus revenir ici, il restera plus longtemps auprès de vous. Je sais que si mes parents étaient vivants et que je partais avec vous, ils me manqueraient, et j'aurai envie de retourner auprès d'eux, cela m'empêcherai de m'entrainer comme il le faux. Le fils d'Irekos ne pourra pas être concentré s'il pense à chez lui. C'est mon avis. Après je ne sais pas ou s'arrête votre puissance, peut être la République ne vous fait point peur. Peut être que avoué est à moitié pardonné... Quand à notre destination. Je pense qu'il faudrait aller sur Dantooine pour voir si votre ami est toujours en vie, de plus peut être que nous en sauront plus sur l'Alliance Jedi. Peut être votre ami en a t-il appris plus, peut être sait t-il des informations. Pour moi aller sur Dantooine serai bénéfique pour éclaircir les choses. Je vous suivrai n'importe ou, plus rien ne me retient sur cette planète..."

Maldrik attendit que son maître valide ces propositions ou les rejette en proposant un autre itinéraire.
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Vahamon
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MessageSujet: Re: La haine cherche un maître à Aldera   La haine cherche un maître à Aldera Icon_minitimeDim 9 Sep - 14:03

«L’Empire Sith a échoué dans chacune de ses tentatives de conquête de la galaxie, jusqu’à ce jour fatidique où il n’y a plus que des Vestiges éparpillés, désunis et sans véritable pouvoir militaire. L’échec de nos ancêtres est dû à l’irresponsabilité intellectuelle dont ils ont fait preuve, il est de notre devoir d’écarter du pouvoir les bêtes sanguinaires et de les remplacer par des bêtes intellectuels. Au-delà de la puissance du coté obscure, il y a la puissance de l’esprit, si l’un est absent de l’autre, l’individu perdurera dans les Vestiges du passé, alors qu’un Nouvel Ordre sera créé. » -Vahamon

Vahamon sourit lorsqu’il entendit la voix de son apprenti, car il n’y avait dès lors plus aucun doute pour le jeune homme, son désir était dès à présent exaucé. L’acolyte Sith, désormais maître, écouta les paroles de son apprenti avec attention, jetant quelques regards en direction d’Irekos, celui-ci leva les bras dans un signe de pitié, lorsque Maldrik proposa la suggestion de le tuer afin que la République ou encore le Consulat Arkanien ne soit pas alerté de la présence d’un Sith dans les parages. La remarque de son apprenti était judicieuse, néanmoins pour un être tel que Vahamon, la mort d’Irekos ne servirait point les desseins qu’il avait prévu pour ce misérable contrebandier de bas étage, il avait un plan particulièrement plus judicieux en tête que d’abattre l’homme qui pouvait encore lui servir. Le savoir était un pouvoir infini, la distribution de fausses informations était tout aussi bien un pouvoir qui n’avait pas de prix. Le regard de Vahamon brillait d’une grande satisfaction, approuvant d’un signe de tête la dernière proposition de son apprenti, il le laissa finir lentement puis il déposa une main affectueuse sur son épaule et il lui tapota gentiment la tête avant de rompre l’un silence en l’applaudissant dans un grand fracas. Le visage d’Irekos semblait être de plus en plus blême, celui-ci ne savait guère le sort qui lui était réservé et dans un signe de résignation il alla s’assoir sur l’une des banquettes qui étaient encore intactes dans sa chambre d’habitation.

« Bravo Maldrik, commença Vahamon avec le sourire, vous avez fait une analyse pertinente de la situation. Vous méritez désormais votre titre d’apprenti à mes côtés. Pour répondre à vos suggestions concernant le sort de notre ami, ici présent, nous n’allons pas achever sa pitoyable existence. Mon jeune ami, vous devez comprendre qu’avoir en otage le fils d’Irekos est un levier de pression particulièrement efficace lorsqu’il s’agît d’obtenir ce que nous voulons. Prenez-en note, Maldrik, ne tuez jamais un individu que vous pouvez assujettir sous votre joug, au même titre que vous ne devez jamais tuer le Jedi que vous pouvez convertir à votre cause. L’enseignement des Sith, celui du vieil empire, nous apprend à détruire passionnément tout ce qui se trouve sur notre chemin. J’entends bien reforger cette déficiente philosophie en une norme beaucoup plus polyvalente, celle qui laissera prédominer l’utilisation intelligente de la violence, au même titre que la distribution égalitaire de prestige au mérite, lorsqu’un être s’en montre digne. Dans le cas qui nous concerne, nous devons utiliser d’astuce, d’audace et de brillance. Dantooine est une planète fidèle à l’Ordre Jedi, entité qui est elle-même fidèle à la République. Nos ennemis du moment sont ceux de l’Alliance Jedi, un Ordre Jedi affilié au Consulat Arkanien, vous lirez les holonews lorsque vous en aurez l’occasion afin de comprendre mieux la trame politique de notre problème. Si nous allons directement sur Dantooine et que nous enquêtons sur la disparition du Seigneur Zorkas, nous serons inévitablement confrontés à l’Ordre Jedi. »

Vahamon fit alors une pause, jaugeant de la réaction du contrebandier qui semblait exaspéré que les deux Sith parlent de lui comme si il ne se trouvait pas dans la même pièce qu’eux, la peur était bien ancrée dans son visage. L’acolyte ferma les yeux un cours instant pour ressentir la douce sensation qui animait à présent l’esprit d’Irekos, il ressentait ce doux filtre de la peur qui envahissait chaque parcelle de son corps, il ressentait cette puissance, celle d’être craint, enivré chacun de ses sens. La peur était l’une des sensations les plus remarquables dans l’esprit des êtres mortels, l’odeur de la peur en était enivrante, un mélange de sueur froide à la chaleur de la pièce, combinée au rythme cardiaque qu’il pouvait percevoir par-delà la force, c’était tant de petits détails que la plupart des utilisateurs de la force omettaient, mais que Vahamon prenait soin de ressentir. Un sourire se dessina sur son visage, il marcha lentement vers Irekos et il lui tendît la main, celui-ci se demandait ce qu’il devait faire, puis dans un geste d’impatience, il agita sa main jusqu’à ce que le contrebandier comprenne qu’il devait la saisir. Celui-ci l’attrapa alors et l’acolyte des ténèbres l’aida à se relever, puis lorsqu’il fût debout, ils se serrèrent la main fermement, le regard d’Irekos était bien entendu toujours méfiant, mais la sensation de peur qu’il ressentait semblait s’être clamée pour laisser place à une indexation de crainte, d’espoir et de survie.

«Vous avez entendu tout ce dont nous avons dit Irekos. Déclara Vahamon avec le sourire. Vous savez ce dont je suis capable, vous savez que votre fils est en sécurité, tant que vous faites ce que je vous dis. Je vous propose, Irekos, de faire fortune sous mon commandement. J’ai un réseau d’espion finement tissé aux quatre coins de la galaxie, de fidèle serviteur rêvant de revoir l’apogée de l’Empire Sith, je ne vous demande point de partager ce désir, uniquement la loyauté dont ils font preuve à mon égard. Vous me le devez en échange de votre vie et de celle de votre fils. Prendre le sabre laser d’un Seigneur Sith est un affront considérable, faire croire que vous en avez tué est encore plus dangereux. Voici donc votre chance de vous faire pardonner, vous allez contacter le Consulat Arkanien, plus précisément l’Alliance Jedi, et vous allez leur dire qu’un jeune apprenti Sith se promène sur Dantooine avec le sabre de Darth Zorkas, dîtes-leurs qu’il est à la recherche de Zorkas et laisser supposer qu’il s’agît peut-être de son apprenti. Ne donnez pas plus de détails, ne tentez pas de préparer un piège ou de me trahir, si vous le faites, votre fils mourra sous vos yeux. »

Vahamon se retourna alors devant la bouche béante de surprise d’Irekos, celui-ci semblait profondément surprit par la tournure des évènements, en plus de garder la vie sauve, il allait récupérer une récompense de l’Alliance Jedi, pour indiquer la position d’un apprenti sur Dantooine. Le Sith était bien entendu au courant de cet état de fait et il savait que ce dernier incitatif ne pouvait qu’augmenter la loyauté de ce contrebandier, les crédits fleuriraient dans la paume de sa main tant et aussi longtemps qu’il obéirait à ses commandements. Le Sith n’avait pas peur d’être généreux avec ceux qu’il considérait comme un atout, après tout il devait bien utiliser les ressources que son maître lui autorisait à prendre pour l’accomplissement de son savoir personnel. Vahamon eût alors une pensée envers le seigneur Vorkus, celui-ci ne savait pas le sort qu’il réservait à son ancien maître, Darth Zorkas, alors que Vorkus désirait le retrouver afin de le rallier à ses côtés, Vahamon désirait lui le trouver afin de l’éliminer et d’isoler son maître d’un allier plus puissant et plus intelligent que lui. Le fait que Zorkas ce soit fait prendre par l’Alliance Jedi était une bénédiction, peut-être serait-il plus facile à retrouver, car bien qu’il devait être prisonnier quelques parts dans le système du Consulat Arkanien, l’aura d’un puissant Seigneur Sith au travers de Jedi était excessivement aisé à percevoir. D’un geste de la main, il guida son apprenti à le suivre à l’extérieur de l’appartement, il devait se diriger sur Dantooine.

Vahamon marcha donc, accompagné de son apprenti, vers le statioport où ils allaient prendre place à bord d’un vol cargo en direction de Dantooine, lorsque vînt le temps de payer pour le voyage, Vahamon paya pour son apprenti et lui-même puis il rajouta une demande spéciale afin d’avoir un compartiment à eux seul avec un service première classe leur offrant nourriture et désaltérant à volonté, il devait après tout se nourrir et nourrir son apprenti. Lorsqu’ils furent traversés les premiers barrages de sécurité, Vahamon utilisa la force à chaque fois en montrant un faux passeport pour son apprenti, convainquant ainsi les autorités de la légitimité de son identité. Quelques instants plus tard, Vahamon tendit vers son apprenti une « carte de crédit » avec des fonds puisant directement dans le compte bancaire de Vahamon. « Prends cette carte, lui dit-il, et sers tant lorsque nous serons séparés afin de subvenir à tes besoins. » Puis ils se dirigèrent vers le vaisseau qui les transporterait et ils s’installèrent dans le compartiment qui leur était attitré. Bientôt, un serveur pénétra dans la pièce et il y déposa des rafraîchissements ainsi que des victuailles qu’ils pouvaient dévorer à leur bonne guise. Le Sith le remercia brusquement et lui indiqua la sortie en lui faisant signe qu’il n’aurait nul autre pourboire que le fait de garder sa vie.

Vahamon se leva alors de son siège, mangeant un morceau de viande d’une origine inconnue, il prit son sabre laser et il l’activa sous les yeux de son apprenti. Tentant d’attirer son attention, Vahamon effectua quelques mouvements simples, mais qui dans toute sa grâce, à travers la force, formait une danse d’une splendeur inouïe. Son sabre de couleur orangé, à la lame et au manche beaucoup plus long qu’un sabre ordinaire, vibrait avec le bourdonnement habituel des sabres laser. Il avait adopté ce style, qu’il avait développé lui-même, particulièrement efficace pour la concentration en travers la force. Sa maîtrise était un mélange de formes agressive et défensive qui demandait une précision à toute épreuve, il ne s’agissait pas de frapper de gauche à droite, mais bien de calculer chacun de ses mouvements, car chaque coup raté pouvait exposer le duelliste au courroux de son adversaire, il s’agissait donc là d’une continuité directe avec sa philosophie, aucun coup ne devait être inutile et si il l’était, il devait être puni. Tel était la voie de Vahamon, l’élite dirigeante devait assumer ses responsabilités en tant que maître, instructeur, duelliste et maître de la force. Vahamon s’arrêta alors soudainement devant son apprenti, rengaina son sabre, et se concentra à l’aide de la force. Il se souleva alors dans les airs à l’aide de la force puis il grimpa sur la petite table sur laquelle il y avait les victuailles.

« Mon apprenti, dit-il avec ardeur, aujourd’hui est un grand jour! Notre mission sera l’une des plus dangereuses que nous aurons à accomplir de notre existence. Le but sera de vous parfaire à travers la force, le combat au sabre laser et de parfaire vos facultés de raisonnement. Lorsque nous serons sur Dantooine, l’Alliance Jedi arrivera bientôt à un endroit précis, nous allons préparer un piège dans lequel vous serez l’appât parfait. Il va sans dire que ceux-ci s’attendent à trouver un apprenti et non quelqu’un de mon rang. Il y aura donc un maximum de deux Jedi, si ils fonctionnent comme l’Ordre, nous assisterons à la venue d’un Chevalier Jedi et de son apprenti. Vous devrez vous occuper de son apprenti alors que je m’occuperais de son maître. Peut-être craignez-vous d’être confronté à un Jedi, Maldrik, mais lorsque vous ressentirez le pouvoir de la force, le désir de survie contre un être qui vous veux du mal vous, vous défendrez avec tout l’art que le coté obscure peut vous procurer. »

Dantooine fût bientôt à l’horizon, le regard de Vahamon brilla d’une satisfaction plus que raisonnable, son cœur battait bon train, son âme rêvait de découvrir où était entreposé Zorkas et pour ce faire il devait capturer un membre de l’alliance Jedi.

(À toi d’écrire la suite jusqu’au point où les membres de l’alliance Jedi apparaissent. Écris la suite sur Dantooine (Tu n’as qu’à créer un nouveau topic.). Bon Rp!)
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